• L'évolution physique des stars de "Dallas"

    Bobby Ewing (Patrick Duffy)

    «Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant.

    Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.

    «Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.

    Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».

     

    <p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p> <p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p><p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p>

     

                                                        Sue Ellen, Pamela et Lucy Ewing réunies en couverture de Paris Match

    <p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p>Sue Ellen et J.R. réunis en couverture de Paris Match

    <p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p>

    Sue Ellen Ewing (Linda Gray)

    <p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p><p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p><p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p>

    Pamela Ewing (Victoria Principal)

    <p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p><p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p><p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p>

    Lucy Ewing (Charlene Tilton)

    <p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p><p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p>

    Cliff Barnes (Ken Kercheval)

    <p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p><p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p>

    Ray Krebbs (Steve Kanaly)

    <p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p><p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p>

    Jenna Wade (Priscilla Beaulieu Presley)

    <p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p><p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p>

    Donna Culver Krebbs (Susan Howard)

    <p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p><p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p>

    Kristin Shepard (Mary Crosby)

    <p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p><p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p>

     

     

     

                  

                     

     

     

     

    « boutonsL'humoriste et comédienne Sylvie Joly est morte à l'âge de 80 ans »
    Partager via Gmail Delicious Technorati Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks Pin It

    Tags Tags :
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :