• Bobby Ewing (Patrick Duffy)

    «Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant.

    Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.

    «Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.

    Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».

     

    <p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p> <p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p><p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p>

     

                                                        Sue Ellen, Pamela et Lucy Ewing réunies en couverture de Paris Match

    <p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p>Sue Ellen et J.R. réunis en couverture de Paris Match

    <p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p>

    Sue Ellen Ewing (Linda Gray)

    <p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p><p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p><p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p>

    Pamela Ewing (Victoria Principal)

    <p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p><p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p><p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p>

    Lucy Ewing (Charlene Tilton)

    <p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p><p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p>

    Cliff Barnes (Ken Kercheval)

    <p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p><p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p>

    Ray Krebbs (Steve Kanaly)

    <p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p><p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p>

    Jenna Wade (Priscilla Beaulieu Presley)

    <p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p><p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p>

    Donna Culver Krebbs (Susan Howard)

    <p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p><p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p>

    Kristin Shepard (Mary Crosby)

    <p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p><p>«Dallas, ton univers impitoyable». Un générique culte, des personnages hauts en couleur, des intrigues familiales et luttes de pouvoir... La série «Dallas» avait tout pour entrer dans les annales de la télévision. Lorsqu'elle est diffusée pour la première fois aux Etats-Unis en 1978, «Dallas» ne doit pas durer plus de cinq épisodes. Quelques années plus tard, la série est un phénomène de société qui révolutionne le soap opera -des programmes souvent sentimentaux conçus pour un public féminin et dont chaque épisode s'achève par un «cliffhanger», un événement crucial pour l'intrigue qui pousse le téléspectateur à regarder l'épisode suivant. </p><p>Les aventures des membres de la richissime famille Ewing, des magnats du pétrole et éleveurs de bétail de Dallas et de leurs rivaux du clan Barnes passionnent les foules. Le machiavélique J.R. (Larry Hagman), l'alcoolique et délaissée Sue Ellen (Linda Gray), Bobby le gendre idéal (Patrick Duffy) deviennent également de superstars en France où la série est diffusée à partir de 1981 sur TF1.</p><p>«Dallas» s'est achevée en 1991 après 14 saisons et 357 épisodes non sans avoir été déclinée en un spin-off : «Côté Ouest». Mais les Américains n'ont jamais vraiment pu supporter l'arrêt de leur programme favori. Vingt et un ans après son dernier épisode, la série a été ressuscitée par la chaîne TNT avec «Dallas : Nouvelle génération». Même si les emblématiques Bobby ou encore Sue Ellen notamment font leur grand retour dans ces nouveaux épisodes, la série s'est terminée au bout de 3 saisons faute d'audience. La mort de Larry Hagman qui incarnait J.R. en 2012 a achevé les espoirs de «Dallas : Nouvelle génération» de perpétuer le mythe de la première série.</p><p>Pour les nostalgiques, Paris Match remonte le temps et retrace l'évolution physique des stars encore vivantes de «Dallas».</p><p>A relire : L'évolution physique des stars de «Beverly Hills»</p>

     

     

     

                  

                     

     

     

     

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  • Sylvie Joly est décédée à l'âge de 80 ans, a confirmé son mari à l'AFP. Pionnière de l'humour féminin, elle souffrait depuis plusieurs années de la maladie de Parkinson. 

    L&#39;humoriste et comédienne Sylvie Joly est morte à l&#39;âge de 80 ans © L'humoriste et comédienne Sylvie Joly est morte à l'âge de 80 ans L'humoriste et comédienne Sylvie Joly est morte à l'âge de 80 ans

    L'humoriste et comédienne Sylvie Joly est décédée cette nuit à l'âge de 80 ans. Elle souffrait depuis plusieurs années de la maladie de Parkinson. "Sylvie souffrait d'une maladie de Parkinson sévère, qui n'est pas forcément mortelle. Elle s'est éteinte d'un arrêt cardiaque en fin de nuit, à notre domicile à Paris", a déclaré Pierre Vitry à l'Agence France Presse.

    Sylvie Joly était née le 18 octobre 1934 à Paris. Enfant du très chic 6e arrondissement de Paris, condisciple de la future Bernadette Chirac, elle avait été renvoyée de plusieurs institutions religieuses. Ce qui ne l'empêcha pas de faire des études de Droit et de démarrer dans la vie comme avocate.

    C'est ce décalage entre des origines très "comme il faut" et un esprit fantaisiste qui permit à Sylvie Joly de laisser sa robe noire au vestiaire pour endosser les habits de saltimbanque.

    A la tête d'une boutique de fringues d'occasion qui attira vite le tout-Paris, dont Brigitte Bardot, elle suivit les cours de théâtre de Tania Balachova avant de se lancer dans un genre alors inédit : le one-woman-show. Son personnage de Madame Touchard ou son sketch de L'après-dîner (un couple rentre d'un dîner et fait dans la voiture des commentaires au vitriol sur les convives) firent hurler de rire des salles entières.

    Parmi ses fans, on comptait un certain Pierre Palmade, qui lui présenta ses premiers textes et qu'elle aida à se faire connaître. Elle fut également proche de Dany Boon à ses débuts.

    Au cinéma (elle a joué dans une trentaine de films), ses allures de grande bourgeoise délurée firent aussi merveille, comme dans Le miraculé, de Jean-Pierre Mocky, ou Les visiteurs 2 : les couloirs du temps, au côté de Christian Clavier et Jean Reno.

    Dans C'est votre vrai nom ?, son autobiographie sortie en 2010, Sylvie Joly avouait être atteinte de la maladie de Parkinson. Pour l'anecdote, elle était apparentée à Eva Joly, candidate écologiste à la Présidentielle de 2012.

     

     
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  • merci à toi classic dee c'est de la bonne, quels souvenirs merci

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  • La nuit où Louis Bertignac a emballé Carla Bruni, "comme dans un film" 

     Reporters_318881 © Fournis par RTL info Reporters_318881

     

    L'ancien guitariste de Téléphone a raconté comment tout a commencé entre eux.

    Dans les années 80, Carla Bruni et Louis Bertignac ont vécu une histoire d'amour qui a duré deux ans. C'était à l'époque du grand succès du groupe Téléphone et les admiratrices ne manquaient pas.

    Dans VSD, le guitariste du groupe raconte qu'une certaine Carla Bruni faisait partie de ses fans... "Ah, Carla?! Elle avait 16 ans, moi, la trentaine, se rappelle Louis Bertignac. Mais bon, j’ai connu pire comme différence d’âge depuis".

    Un soir alors qu'il rentrait chez lui, il était attendu par deux charmantes demoiselles. "Bon, moi qui essuyais un nombre de râteaux invraisemblable, même avec des moches, je me suis dit : 'Qu’est-ce qu’elles foutent là??', persuadé que ce n’était pas pour moi", s'est d'abord dit le musicien. Mais finalement, il était bien celui qu'elles cherchaient : "Une minute après, elles sonnaient à la porte : 'On a trouvé ton adresse et on aimerait bien boire un coup avec toi'", raconte-t-il.

    C'est là que tout s'est joué et que tout a commencé pour Louis Bertignac qui ne s'est pas dégonflé devant la beauté de Carla Bruni. "Et là, c’est comme dans un film : j’ai eu mes 20 secondes de courage, ces 20 secondes qui peuvent changer ta vie", dit-il carrément à VSD.

    C'est là qu'il s'est lancé : "J’ai dit à Carla : 'Viens en haut, j’ai quelque chose à te montrer.' Arrivés à l’étage, je l’ai embrassée. Elle n’était pas encore mannequin, mais je la trouvais merveilleuse", raconte-t-il encore.

    S'en suivront deux années de relation amoureuse avant que chacun ne prenne des chemins différents, mais les deux amis se retrouveront régulièrement pour collaborer, notamment en 2002 lorsqu'il a co-écrit l'album Quelqu'un m'a dit.

     

     

     

     

     

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  • Triffle glacé vanille et confiture de lait

    Préparation 10 mn     

       Convives 4     

     Difficulté Très facile     

     

    Ingrédients

    • 2  bananes
    • 4 boules de Glace Vanille Noix de Macadamia LA LAITIERE
    • 8 biscuits type sablés
    • 4 cuillerées à soupe de  confiture de lait
    • 8 cuillerées à soupe de chantilly en bombe

    Préparation

    1. Coupez les bananes en rondelles. Disposez-les dans le fond des coupes,
    2. ajoutez des brisures de biscuits et couvrez avec de la confiture de lait.
    3. Ajoutez une boule de glace dans chaque coupe
    4. Décorez avec la chantilly et la confiture de lait.

    Remplacez la confiture de lait par du caramel.

    Ajoutez 2 poires coupées en morceaux pour constituer

    l’une des 5 portions de fruits et légumes quotidiennes recommandées par les nutritionnistes.

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  • Voici comment éliminer les poux avec ce remède facile et naturel !

    Pour beaucoup de parents, les poux dans la tête de leurs enfants est l’une des choses les plus contraignantes de leur vie. Cette petite créature rampante et ailée, vie dans les cheveux humains et se nourrit de petites quantités de sang prélevées sur le cuir chevelu.

    Bien qu’ils puissent sembler totalement écœurant, ils ont tendance à être un problème typique chez les jeunes enfants. Les jeunes femmes attrapent plus souvent des poux que les jeunes hommes, ce qui peut conduire à un traumatisme.

    Seulement quelques poux sur la tête peuvent entraîner des démangeaisons chez l’enfant ou causer une infection de la peau.

    Dans le cas où vous n’avez pas envie de dépenser une fortune pour acheter les produits adéquats contre les poux, nous vous proposons une alternative. Avec deux filles aux cheveux longs à la maison, nous investissions plus de 100 $ chaque fois que nous avions besoin de les traiter. Alors que nous faisions notre part, beaucoup de parents d’élèves ne sont pas en train de faire la leur.

    Comment éliminer les poux: Au lieu des médicaments, des shampoings et des brossages à répétition, voici ce dont vous aurez besoin pour traiter les poux naturellement et à petit prix.

    • Rince-bouche
    • Vinaigre blanc
    • Bonnet de douche ou sacs en plastique de l’épicerie
    • Deux serviettes
    • Shampooing
    • Peigne spécial poux

    éliminer-les-poux

    Comment éliminer les poux:  Instructions

    Bien que les rince-bouche bleus ou verts ne soient pas conseillés sur les blondes, nous les avons essayés sans rencontrer de problème. Trempez la tête de votre enfant dans autant de bain de bouche que nécessaire pour totalement mouiller la tête. Assemblez leurs cheveux et mettez du film plastique, un sac en plastique, ou un bonnet de douche par dessus et laissez-le pendant 60 minutes.

    Nous avons utilisé deux sacs en plastique pour garder l’humidité et mis une serviette autour de leurs épaules. Les enfants peuvent jouer en toute tranquillité. Il suffit de faire en sorte que le sac en plastique soit fermement serré autour de leur tête pour garder les poux à l’intérieur.

    Au moment venu, enlevez le sac. Vous pourriez être étonné du nombre de poux morts dans ces sacs. Ce n’est pas un spectacle agréable pour les yeux, mais c’est la preuve que cette méthode a réussi.

    Doucement, lavez le rince-bouche de leurs cheveux. Faites tremper leur tête dans du vinaigre blanc. Appliquez de nouveau les sacs pendant encore une heure. Après, prenez les sacs avec précaution. Retirez le vinaigre de leurs cheveux. Utilisez le shampoing comme à votre habitude.

    Ensuite, brossez les cheveux à l’aide de la brosse spéciale poux. Le vinaigre sert à libérer la colle sur les œufs, donc de cette façon vous pouvez les brosser sans trop d’effort.

    L’odeur du bain de bouche va les éloigner. Les poux n’aiment pas l’odeur de la menthe verte, de sorte que vous pouvez mettre un peu de bain de bouche dans un récipient avec un peu d’eau et pulvériser les cheveux de votre enfant avant qu’ils se rendent à l’école.

    2 heures suffisent pour faire tout le traitement, sans exposer vos enfants à des produits chimiques.

    Cette option est sûre et ne nécessite pas beaucoup de budget, mais les résultats sont épatants et durables. Après ce traitement, nous n’avons plus jamais eu de poux. Une combinaison de menthe et d’eau chaque matin était tout ce qu’il fallait pour les éloigner. Vos enfants seront en sécurité, leurs cheveux seront lisses et brillants. Essayez-la!

    - See more at: http://sain-et-naturel.com/voici-comment-eliminer-les-poux-avec-ce-remede-facile-et-naturel.html?utm_campaign=shareaholic&utm_medium=facebook&utm_source=socialnetwork#sthash.qMwjjv2B.dpuf

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  • Voilà comment préparer  en toute simplicité un délicieux gâteau au chocolat et épater vos invités ! Vous aurez besoin d’une tablette de chocolat, une pâte feuilletée, un œuf et un peu de noisettes émiettées. Enroulez votre chocolat dans votre pâte feuilletée et … Regardez la vidéo pour la suite :

     

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